Les enfants ont de l’imagination, souvent alimentée par la télévision, les histoires et les légendes des livres d’enfants.
Chaque enfant a son tempérament, sa personnalité, son caractère et réagit selon ses perceptions, sa tolérance et ses émotions.
L’imaginaire est l’illusion des peurs ou des obsessions, car la représentation que l’enfant visionne développe un aspect différent du réel.
Jouez à changer la réalité des peurs :
Exemples :
La réaction de l’enfant en face d’une peur est toujours plus importante que pour l’adulte, car pour lui, les peurs sont encrées dans la réalité (peur du noir, des bruits inconnus, de se perdre, du feu, de la mort, d’un accident, de perdre ses parents ou ses grands-parents et autres.
Catégories de peurs
1. Établies par une expérience négative antérieure
2. Adaptées à une situation réelle
3. Instinctives causées par des probabilités ou des consignes de sécurité d’un établissement ou familiale
Comment répondre aux peurs de l’enfant?
L’attitude du parent ou de l’éducatrice est très importante. Il ne faut pas se moquer, car pour l’enfant il y a une partie de cette peur qui est réelle. La banaliser, lui donne plus d’emprise dans l’imaginaire de l’enfant.
La musique, la danse, le chant, les dessins repoussent les peurs
Tout ce qui touche à la musique et à l’art influence plusieurs régions du cerveau.
1. La musique, la danse et le chant développent la sociabilité, la confiance, la motricité, la persévérance et la communication en faisant oublier les insécurités.
2. La musique, la danse et le chant suscitent un éveil aux sons, aux rythmes, aux mouvements et à la cadence d’une chorégraphie.
3. La musique, la danse et le chant vont oublier les peurs et les obsessions tout en développant la joie et le plaisir chez le tout petit.
4. L’écoute est importante pour mieux comprendre et apprivoiser les émotions de l’enfant.
5. Le dessin avec des couleurs aide à mieux voir le sentiment relié à la peur, même si ce n’est que des lignes ou des ronds. L’enfant exprime spontanément ce qu’il ressent.
La coopération des parents est essentielle pour intégrer l’enfant en garderie. La peur de l’abandon peut être perçu comme une angoisse difficile à consoler. L’insécurité que ressent l’enfant amène agitation, solitude, repli sur soi et un refus de participer aux activités.
Toutes les peurs selon leur intensité, sont invalidantes pour l’enfant car elles causent de l’angoisse. Elles dérangent son apprentissage, son sommeil, son appétit et l’empêchent de vivre avec harmonie une relation avec ses proches.
Le parent doit travailler aussi sur ses propres craintes pour ne pas contaminer l’attitude de son enfant.
• Écarter les peurs chez le tout petit est un défi qui va lui permettre de grandir plus calme en développant l’humour.
L’imaginaire est l’illusion des peurs ou des obsessions, car la représentation que l’enfant visionne développe un aspect différent du réel.
Jouez à changer la réalité des peurs :
Exemples :
- Le père Noël habillé de vert comme un lutin joyeux
- L’enfant méchant de la garderie possède une carotte au lieu d’un nez.
- Le voisin batailleur est déguisé en mouton.
La réaction de l’enfant en face d’une peur est toujours plus importante que pour l’adulte, car pour lui, les peurs sont encrées dans la réalité (peur du noir, des bruits inconnus, de se perdre, du feu, de la mort, d’un accident, de perdre ses parents ou ses grands-parents et autres.
Catégories de peurs
1. Établies par une expérience négative antérieure
2. Adaptées à une situation réelle
3. Instinctives causées par des probabilités ou des consignes de sécurité d’un établissement ou familiale
Comment répondre aux peurs de l’enfant?
L’attitude du parent ou de l’éducatrice est très importante. Il ne faut pas se moquer, car pour l’enfant il y a une partie de cette peur qui est réelle. La banaliser, lui donne plus d’emprise dans l’imaginaire de l’enfant.
La musique, la danse, le chant, les dessins repoussent les peurs
Tout ce qui touche à la musique et à l’art influence plusieurs régions du cerveau.
1. La musique, la danse et le chant développent la sociabilité, la confiance, la motricité, la persévérance et la communication en faisant oublier les insécurités.
2. La musique, la danse et le chant suscitent un éveil aux sons, aux rythmes, aux mouvements et à la cadence d’une chorégraphie.
3. La musique, la danse et le chant vont oublier les peurs et les obsessions tout en développant la joie et le plaisir chez le tout petit.
4. L’écoute est importante pour mieux comprendre et apprivoiser les émotions de l’enfant.
5. Le dessin avec des couleurs aide à mieux voir le sentiment relié à la peur, même si ce n’est que des lignes ou des ronds. L’enfant exprime spontanément ce qu’il ressent.
La coopération des parents est essentielle pour intégrer l’enfant en garderie. La peur de l’abandon peut être perçu comme une angoisse difficile à consoler. L’insécurité que ressent l’enfant amène agitation, solitude, repli sur soi et un refus de participer aux activités.
Toutes les peurs selon leur intensité, sont invalidantes pour l’enfant car elles causent de l’angoisse. Elles dérangent son apprentissage, son sommeil, son appétit et l’empêchent de vivre avec harmonie une relation avec ses proches.
Le parent doit travailler aussi sur ses propres craintes pour ne pas contaminer l’attitude de son enfant.
• Écarter les peurs chez le tout petit est un défi qui va lui permettre de grandir plus calme en développant l’humour.
Pour plus d'articles sur les enfants en garderie: http://www.croquemagie.com/article-category/education.html
